IransResilienceJourney_12
Sanandaj, Iran. In a park in Sanandaj, the capital of Kurdistan province, drug addicts use a downtown park to buy their dose and be able to consume without taking too many risks of being arrested. The police obviously know the place and seem to tolerate its existence since it allows them to have an eye on consumption in the city, or even to channel it. Opium, heroin, and hashish are very easily and cheaply available given the almost direct route between producer and consumer.
While opium production had been allowed since the early 1970s, as well as "limited, controlled and monitored" consumption in health posts and pharmacies.
After the Islamic revolution, local production fell and the country became the hub for opium produced by Afghanistan. The neighboring country, which has become the world's largest opium producer.
It is estimated that only 60% of Afghan opium reaches Turkey and then to Europe via the Balkans. This means that consumption remains very high in Iran, forcing the authorities to put in place policies that are no longer just repressive. At the beginning of the 1990s, support and treatment centres managed by the Ministry of Health were set up.
Dans un parc de Sanandaj, la capitale de la province du Kurdistan, des toxicomanes fréquentent un parc du centre ville pour acheter leur dose et pouvoir consommer sans prendre trop de risques dâêtre arrêtés. La police connaît évidement le lieu et semble en tolérer lâexistence puisquâil leur permet dâavoir un oeil la consommation dans la ville, voire de la canaliser. LâOpium, lâhéroine, et le hashish se trouvent très facilement et à bas prix étant donné la filière quasi directe entre producteur et consommateur.
Alors que la production dâopium était autorisée depuis le début des années 70â, ainsi que la consommation âlimitée, contrôlée et suivieâ dans des postes de santé et en pharmacie.
Après la révolution islamique, la production locale a chuté et le pays est devenu la plaque tournante pour lâopium produit par lâAfghanistan. Le pays voisin, devenu le plus gros producteur mondial dâopium.
Il est estimé que seuls 60% de lâopium afghan arrive jusquâen Turquie puis vers lâEurope via les Balkans. Cela veut dire que la consommation reste très importante en Iran, forçant les autorités à mettre ne place des politiques qui ne soient plus uniquement répressives. Début des années 90â, des centres dâaccompagnements et de traitements gérés par le ministère de la santé ont vu le jour.